• Depuis Pulau Pangkor, nous reprenons la route mais c'est vraiment dur. Pas physiquement, mais mentalement. La route est saturée, sale, bruyante, un vrai calvaire. Pour la première fois depuis le début du voyage on aurait envie d'être n'importe où ailleurs, mais pas ici. On regarde le compteur pensant avoir roulé 40km, mais seulement un petit 18km s'affiche... On en a déjà marre, et la journée ne fait que commencer. En plus nous sommes en plein dans les vacances nationales, le trafic déjà dément est encore plus important. Ça nous arrive de doubler dans les bouchons...

    Un moment de calme avec une bande d'arret d'urgence: le paradis en malaisie

    Pulau Paangkor - Pontian

    La bande d'arrêt d'urgence est souvent ridicule ou inexistante, on ne peut donc pas rouler à 2 de front pour communiquer ensemble. On se hurle dessus pour se parler par dessus le trafic, les journées passent lentement. Heureusement que l'on reçoit beaucoup d'encouragements sur la route, sinon je sais pas comment on aurait fait. Bref, on s' emm*rd* grave.

    Ariane compte les palmiers. Et il y en a beaucoup! Ils sont plantés au carré, un tous les 10m. Ça en fait 10000 au km2, un massacre écologique. Je vous laisse calculer le nombre de palmiers sur une journée de plus de 100km... Tout le centre de la péninsule a perdu sa jungle primaire, remplacée par cette saleté d'huile de palme. On roule là dedans toute nos journées, sans croiser autre chose que des serpents sur la route. Il n'y a pas de vie dans ces plantations, à peine quelques oiseaux. La malaisie est le 1er producteur mondial de cette huile, avec 40% de la production à elle seule. Économiquement ça emploie du monde, mais à quel prix?

    Pulau Paangkor - Pontian

    Moi je pense à l'avenir, aux prochains trips à vélo. La route de la soie? Une traversée de l'Afrique? A voir en rentrant. Ce qui est sûr, c'est que je vais avoir du mal à caser ce projet dans mes 5 semaines de congés payés... Grosse envie de liberté, de découverte, de rock'n roll, l'asie nous a mis en appétit! Je rêve d'un truc qui fait mal aux jambes mais où tu pleures de bonheur en arrivant au bout. On se dit aussi qu'on a très envie de retourner en Chine. Nous n'avons fait qu'entre apercevoir la province du Gansu, j'adorerais y retourner à vélo. Le Xinjiang, le Qinghai, les portes du tibet! Trop de choses à faire, à voir, je ne sais pas comment on va faire...

    Bref, ça cogite bien en ce moment, ça doit être un bon signe! Et il faut dire qu'on en a tout le loisir aussi! 

    Côté tourisme, on s'arrêtera à Klang et Muar. Nous avons bien aimé Klang, son Little India, ses temples et mosquées. Atmosphère sympathique, bien que la ville soit vraiment casse pied - c'est le cas de le dire - comme le sont les villes asiatiques.

    Pulau Pangkor - Pontian

    On le voit partout sur les temples indous mais je ne me suis pas documente dessus

    Pulau Pangkor - Pontian

     

    C'est sale (comme partout dans le coin), ça sent mauvais (égouts à la chinoise à ciel ouvert), c'est fait pour les bagnoles, mais ça fait partie du "package".

    Pulau Pangkor - Pontian

    Par contre on avait prévu de s'y reposer, c'était sans compter sur la fête de fin du ramadan: du bazar toute la nuit dans la rue et notre fenêtre de chambre à côté de la mosquée. Des appels à la prière, des chants pour dire au monde entier que "Allah est grand". On n'en doute pas une seconde, mais est ce bien raisonnable de le chanter sur les toits toute la nuit? On voulait dormir nous!

    Pulau Pangkor - Pontian

    On ne s'arrêtera qu'une nuit à Port Dickson et Malacca à causes des vacances malaises. Tous les hotels sont complets et chers, et les plages jonchées de déchets. 

    L'autre étape de repos est donc Muar, choisie tout simplement parce que l'on avait envie de s'arrêter. Bon hôtel, architecture sympa à l'ancienne avec petites allées couvertes et de vieilles facades colorées, plein de resto, ça aurait du être le pied. Sauf que pour la première fois depuis le début de voyage, on ne s'est pas senti super bien accueilli. Regards pas très engageants de la part des passants, service du bout des doigts dans les restaurants, voire parfois un refus complet de nous répondre ou de nous adresser la parole. Ils n'aiment pas les étrangers ou quoi? 

    Pulau Pangkor - Pontian

     

    Pulau Pangkor - Pontian

    Nous continuons notre route vers le sud, km après km. La fin du voyage approche... Depuis port dickson la route est un peu meilleure (moins de trafic, moins de palmiers et des petits villages traversés), mais l'envie d'appuyer sur les pédales diminue. D'un côté nous avons envie d'abréger le supplice de la route en traçant, d'un autre on n'a pas vraiment envie de rentrer...

    Ah, quelle erreur n'avons nous pas fait! Quand on part pour un voyage un peu long, il vaut mieux se laisser la liberté d'y mettre fin au bon moment. Là, nous avons envie de poursuivre et nous ne pouvons pas, nous avons une date de retour, des impératifs... et au lieu de savourer ces derniers instants de voyage, ils sont teintés d'amertume.  


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  • Après avoir "enfin" goûté les rôtis canais dans un restaurant indien et avoir eu les conseils touristiques d'un malais hyper sympa, nous voilà sur la route, plutôt calme. Tout se passe bien, toujours des encouragements, ... Mais 4 jeunes malais sur 2 scooters vont venir rompre cette tranquillité d'esprit qui nous accompagnait depuis le début du voyage à vélo. Après nous avoir dépassés, croisés arrêtés sur le bord de la route, les voilà qui, profitant d'un moment sans trafic, alors qu'on roule, passent à côté de nous à faible allure et avec une agilité qui nous rend bouche bée un bon instant, ils nous subtilisent nos lunettes de soleil. Le temps de comprendre ce qui se passe, d'être juste énervés et ils sont déjà loin devant et ils rient... Il faut savoir que chaque jour, un grand nombre de deux roues nous doublent en passant à 20cm de nous et que régulièrement, ils ralentissent à notre vue pour nous saluer ou nous parler, il n'y avait donc pas de signal alarmant quand ils sont arrivés derrière nous. Jamais on n'aurait pu imaginer qu'on nous volerait nos lunettes de soleil, encore moins en roulant... Bon cela aurait pu arriver en France, juste de la méchanceté gratuite et puis, il y a un soleil de plomb, rouler sans lunettes est plutôt handicapant.

     

    Nous poursuivons notre route tant bien que mal, le moral dans les chaussettes et nous raconterons cet épisode à des policiers à un barrage routier. Ils en sont désolés, l'essentiel reste que nous n'ayons rien et sans numéros de plaques, ils ne peuvent rien faire, tant pis. Après le déjeuner, nous trouvons un magasin de babioles où nous nous achetons des lunettes en plastique vraiment laides... mais les heures du matin sans lunettes ont été très pénibles; tant pis, nous ne faisons pas un défilé de mode! La suite de la route sera chargée en trafic et pas folichonne niveau paysages... de palmiers et des palmiers!

    De Taiping à l'île de Pulau Pangkor

    Ils en ont tellement planté qu'il ne reste plus que 3 mètres de mangrove de part et d'autre de la rivière. 

    Nous arrivons enfin au port de Lumut où nous montons à bord d'un bateau pour l'île de Pulau Pangkor. 40 minutes de bateau plus loin, une vue sur les petits ports de pêcheurs de l'île et nous déchargeons nos vélos pour prendre la route pour aller vers la plage principale, à 6 kilomètres du port.

    De Taiping à l'île de Pulau Pangkor

    Petite vue depuis le bateau sur le port de pêche 

    Nous pensions faire cela rapidement, mais cela était sans compter les petits murs de plus de 10% à franchir, avec la fatigue de la journée. Nous nous installons dans un bungalow et nous nous empressons d'aller nous baigner, pour oublier cette journée éprouvante. Et cela marche hyper bien! 

    Nous sommes restés deux jours à nous reposer sur cette petite île qui a su rester authentique, du moins en période creuse.

    De Taiping à l'île de Pulau Pangkor

    Les côtes de l'île ne sont pas aménagées, le centre de l'île est occupé par de la jungle d'où sortent régulièrement des familles de singes.

    De Taiping à l'île de Pulau Pangkor

    Nous avons pu aussi y admirer ce magnifique oiseau au bec plus qu'impressionnant.

    De Taiping à l'île de Pulau Pangkor

    Et puis nous y avons fait pour la première fois du snorkelling. Tarif peu élevé, les gars étaient souples sur la durée et puis on a eu la chance d'y être tous seuls. Le lieu n'est pas fantastique, trop de pollutions et de bateaux... qui ont malheureusement tués tous les coraux. Mais nous avons pu nager avec de jolis poissons colorés. Cela nous donne envie de recommencer ailleurs. Nous avons aussi profité de magnifiques couchers de soleil, dont un en dinant chez Daddy'cafe, que nous vous recommandons chaudement, surtout en période creuse où peu de restaurants sont ouverts. 

    De Taiping à l'île de Pulau Pangkor

    De Taiping à l'île de Pulau Pangkor


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  • Après ce petit intermède plage à Langkawi, nous reprenons le bateau pour rejoindre l'île de Georgetown, plus au sud. Comme la fois précédente, les marins sont sympas et je peux installer les vélos moi même sur le pont du ferry. S'il y a de la casse, je m'en prendrais à moi même... Le voyage dure 3h avec une escale, la mer est calme donc personne ne sera malade, tant mieux. Le tout fut agrémenté d'un magnifique film de kung fu chinois où les méchants japonais se prennent une sacré raclée! Ce qu'il y a de beau dans ce genre de film, c'est que l'on comprend toute l'histoire même si on ne parle pas un mot de chinois!

    Nous arrivons à Georgetown en début de soirée, nous roulons au petit bonheur la chance pour trouver un hôtel dans le centre historique. Le 1er contact avec la ville est bon, on sent tout de suite la diversité ethnique qui règne dans la cité. Il y règne un mélange de je ne sais quoi qui dégage un parfum d'exotisme...

    Langkawi - Taiping

    Langkawi - Taiping

     

    La cité fut fondée il y a plus de 2 siècles, par les anglais. Les 4 groupes ethniques majoritaires qui vont donner son caractère à la ville sont les européens, les malais, les indiens et les chinois. Auxquels se rajouteront des thaïlandais, des birmans, des indonésiens, des javanais, des sri lankais, et encore pas mal de monde...

    Langkawi - Taiping

    Bref, ça fait du mélange et ça laisse des traces. Malheureusement pour vous lecteurs de ce blog, c'est quelque chose de difficile à retranscrire avec des mots et nos photos ne rendent pas compte, comme on le voudrait, de cette diversité. On y voit des caractères de restaurants chinois côtoyer des devantures arabes avec un magasin de saris indiens coincé entre les deux... Les tenues traditionnelles se croisent sur le trottoir ou dans les restaurants. On peut y voir un indien discuter malais avec un chinois tandis que les personnes des tables voisines discuteront dans la langue de leur ethnie d'origine! 

    Langkawi - Taiping

    Le 1er soir sur l'île, nous choisissons un resto indien. On se trouve une petite place à côté d'un couple qui engage la conversation avec nous - les malais ont un très bon niveau d'anglais et sont très amicaux, c'est facile de rentrer en contact avec eux. On mange, on parle, on mange (c'est d'ailleurs très bon), mais tout le monde nous regarde (gentiment cependant, en disant bonjour) dans le restaurant. On est habitués mais quand même il y a un truc qui cloche... Puis ça fait tilt, on est tombés dans un indien musulman (la malaisie est essentiellement musulmane) et on est en plein ramadan! Donc ils attendent tous le signal de la mosquée du coin pour commencer leur repas, avec les 2 seuls occidentaux du coin qui n'ont rien compris...

    Langkawi - Taiping

    On s'excuse platement et on repose nos couverts sous les protestations de nos voisins: nous ne sommes pas musulmans, il n'y a pas de raisons pour que nous ne mangions pas à notre faim. L'occasion pour nous de tester en pratique la tolérance religieuse du coin, à priori plutot bonne pour le coup! Par la suite nous ferons plus attention à attendre le signal de la mosquée pour nous rendre chez les musulmans... En tout cas, nous nous sentons chaleureusement accueillis en Malaisie et c'est bien agréable. 

    Langkawi - Taiping

    Le jour suivant, on se balade dans le quartier historique, vraiment chouette et authentique. Et puis il y a à manger partout, dommage que ce soit le ramadan car des échoppes sont fermées.

     

    Langkawi - Taiping

    Nous savourons également notre petit mal de ventre du moment: l'indien de la veille n'était pas super clean, mais nos estomacs nous font seulement connaître leur indignation sans faire de révolte gastrique - merci à notre voyage qui nous a bien endurci! Je plains les vacanciers européens, ça doit etre dur de se chopper une tourista le 3ème jour de vacances sur les 15 de prévus... Note à nous même: si un jour on va en Inde, penser à se reendurcir avant!

    Langkawi - Taiping

     

    Mais pour aujourd'hui, les repas seront chinois, ça nous rappelle beaucoup de souvenirs!  

    Langkawi - Taiping

    Il faut néanmoins reprendre la route après ces jours de pause, on rejoint la péninsule par le ferry. Plutôt rigolo, et aussi l'occasion de constater que rouler en Malaisie va être sport. Les 2 roues sont des cinglés et le trafic automobile est démentiel... 

    Langkawi - Taiping

     

    Langkawi - Taiping

    Ce sera d'ailleurs notre pire journée vélo de tout le voyage: on prend la nationale 1 pour descendre vers le sud; c'est comme si on avait roulé sur le periph' à l'heure de pointe sur 100 bornes. Un flot ininterrompu de voitures, camions et 2 roues qui nous frôlent à moins de 20 cm à chaque fois. Le bruit est assourdissant, la chaleur étouffante (ce pays est un four) et on peut dire qu'il n'y a pas de contrôle anti pollution au contrôle technique...

    Langkawi - Taiping

    Quelle belle bande d'arret d'urgence!

    Langkawi - Taiping

    Le seul point positif, ce sont les gens qui viennent discuter avec nous aux (interminables) feux rouges ou arrêts aux stations services. Ils ouvrent la fenêtre et hop, d'où venez vous, que faites vous, et beaucoup de "welcome in malaysia"! 

    Nous faisons étape à taiping, ville historique. On avait prévu de visiter la ville mais entre temps on est tombés sur une boulangerie... et en sortant c'était déjà l'heure de manger! Du coup on a surtout visité le night market pour y manger, c'etait excellent. Des fois je me dis que l'on aurait dû appeler ce blog fourchette et sac à dos sacoches, ça aurait été très près de ce que l'on vit au jour le jour!


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  • Lundi matin, nous quittons notre bungalow pour rejoindre à vélo l'embarcadère. Nous circulons à côté de la mangrove, de laquelle nous proviennent tout plein de bruits; sur la route on croise de gros lézards qui en sortent et des serpents morts! Et puis je me demande, encore une fois, comment font les thaïlandais qui y travaillent pour ne pas s'y perdre.  

    Nous arrivons à Tammalang et nous y entrons avec nos vélos. La dame qui nous a vendu les tickets la veille récupère nos passeports et nous patientons; j'en profite pour aller faire du change car le taux n'est pas mal. Nous récupérons nos passeports et nos tickets; il est 9h et le bureau d'immigration ouvre. Nous y allons, un petit coup de tampon de sortie et un petit pincement au coeur; ça y'est, nous quittons la Thaïlande. Pol charge les vélos sur le bateau et les positionne pour qu'ils ne bougent pas pendant la traversée. A noter que les marins sont très sympas et ils comprennent bien que l'on souhaite limiter la casse potentielle en cas de mer agitée. Nous montons à bord et c'est parti pour un peu plus d'une heure de traversée. Sur les écrans de television, passe un film sûrement thaïlandais plutôt etrange... je préfère regarder les magnifiques paysages qui s'offrent à nous et somnoler un peu; ça passe vite.  

    A noter que le service est réduit pendant le ramadan, 2 bateaux sur 4 seulement ne circulent, 9h30 et 15h30; il faut bien se renseigner.  

    Nous apercevons les côtes de Langkawi et toutes les îles qui l'entourent, c'est très beau! Nous sortons du bateau, pol récupère les vélos (heureusement qu'il est là, je n'aurais jamais eu la force d'attraper les vélos comme lui) et nous avons notre tampon d'entrée sur le territoire (en tant que francais, nous pouvons y rester 90 jours sans visa) puis nous passons par la douane. Ils confisquent à pol le bâton spécial chiens méchants; eh oui, il ne faut pas ramener de bois sur une île et le douanier lui dit qu'en malaisie, il n'y a pas ce problème de chiens, on verra. A part ça, ils ne vérifient rien et nous donnent une carte de l'île. Passage de frontière vraiment simplissime! Nous sortons du port par la zone duty free et nous achetons nos billets pour le mercredi, il n'y a que 2 bateaux par jour; il faut s'y prendre en avance et on n'aime pas ça! Le changement est flagrant, nous sommes bien en malaisie, pays musulman mais nous avions eu le temps de nous y habituer dans le sud de la thailande. Et puis, nous avançons nos montres d'une heure et nous pouvons d'ores et déjà constater que les gens parlent vraiment bien anglais. Nous partons vers Kuah pour trouver un distributeur de billets et nous prenons une pause déjeuner. Nous sommes venus à langkawi d'une part pour passer la frontière mais aussi pour nous reposer au bord de la mer. Nous partons donc direction Pantai Cenang, la plage touristique mais aussi celle qui offre des hébergements à un prix raisonnable. Après un bout de grosse route, nous bifurquons à gauche pour longer la côte et être plus au calme; ça grimpe. 20 kilomètres plus loin, nous y voilà. Nous trouvons un petit bungalow (chez Langkaburry inn) avec une terrasse de laquelle nous voyons la mer et il nous faut marcher 20 mètres pour pouvoir aller nous y baigner; le pied pour une journée de repos!

    Arrivée en Malaisie sur l'île de Langkawi

    Nous nous empressons d'aller profiter de la mer et des paysages qui nous sont offerts; c'est paradisiaque même s'il y a un peu trop de monde à notre goût et que c'est l'heure de sortie des jetskis! Cette plage reste encore aménagée de bonne manière, palmiers qui cachent les bungalows, il n'y a pas d'immeubles, ... espérons que ça restera comme cela.

    Arrivée en Malaisie sur l'île de Langkawi

    Nous dinons très bien dans un restaurant indien et j'apprécie beaucoup le goût de fromage de mon cheese naan... ça fait tellement longtemps... Le lendemain, petit déjeuner buffet à l'hôtel qui est vraiment top et compris dans le prix puis nous profitons de la mer deux fois dans la journée, notamment juste avant le coucher de soleil que nous pouvons admirer les pieds dans l'eau.

    Arrivée en Malaisie sur l'île de Langkawi

    Il faut beau et très chaud et nous apprécions le petit air marin qui souffle sur notre terrasse. Avant de repartir, nous prenons un bain matinal, au calme; quel bonheur. 


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