• Plus que 3 jours avant le retour! On partagera notre temps entre la visite de la ville et la préparation des vélos que nous devons entièrement démonter pour la mise en soute dans l'avion.
    Au final cela donne une après midi de marche et plusieurs heures de balades urbaines à vélo - de loin le meilleur moyen de visiter la ville avec peu de temps. Nous n'avions pas vraiment de plan de la ville, on a donc tout fait au pifomètre sans forcément savoir ce que nous étions en train de voir. On s'en fichait un peu, le but étant surtout de profiter de nos derniers jours en Asie!

    On commence le dimanche par la mosquée des milles et une nuit, en bordure du quartier indien:

    Singapour

    Ce dernier est très peuplé (comme tous les Little India) mais surtout très propre, on est à Singapour... C'est aussi le quartier le plus pauvre que nous aurons vu: pas de malls ici, mais des temples et des mosquées pleins à craquer.

    Plus à l'ouest, on trouve Orchad: ici encore beaucoup de temples, mais dédiés à la consommation cette fois. Des malls à n'en plus finir, allant de "bon budget" à "budget même pas en rêve". Bref, très luxueux mais une certaine esthétique qui n'est pas déplaisante non plus.

    Singapour

    Qu'est ce qu'on fichait ici? Il se trouve qu'ariane, frustrée de porter le même pantalon et le même t-shirt pendant 6 mois voulait faire un casse chez "desigual" pour se sentir mieux. Je blague, elle n'a rien acheté! (Ouf! ) En fait on était là car on etait invités à manger par connaissances interposées chez un couple d'expatriés qui habite le quartier. Un repas avec du pain, du vin et du fromage sortis juste pour nous, ah que la vie est bonne! Surtout, une super soirée entre européens où l'on a pu mesurer encore une fois combien nos racines sont communes et profondes! Ça ne transparaît pas forcément chez nous, mais depuis que nous voyageons ça nous saute au nez à chaque rencontre... 

    Lundi nous nous rendons sur l'île de sentosa; c'est le point le plus au sud de singapour et c'est également là que se trouve le plus grand aquarium au monde. Une manière pour nous de finir de manière sympathique les derniers km de ce voyage en nous rendant au plus près de l'équateur.
    L'accès à l'île n'a pas été conçu pour les vélos, il a donc été difficile de trouver l'aquarium par la route. Une fois fait, les efforts valaient largement le coup puisque ce lieu est absolument splendide. Difficile de rester de marbre devant les colonies de poissons multicolores, les coraux, les requins, les méduses, les raies, le tout mis en valeur par des éclairages somptueux! (Les photos ne rendent pas grand chose mais bon)

     Dans le tunnel de l'entrée, en levant la tête

    Singapour

    Il y a du monde

    Singapour

    Des poissons schtroumfs

    Singapour

    Je vous jure que les photos sont moches à côté de la réalité... et pourtant ces méduses étaient drôlement bien mises en valeur.

    Singapour

     

    Singapour

    On est restés scotchés devant cet aquarium, le plus grand du monde, pendant 30min sans bouger

    Singapour

     

    Singapour

    Nos amis les requins

    Singapour

    Durant le retour à l'hôtel, à vélo, on pourra encore admirer les beautés architecturales de cette ville. (Vous excuserez les cadrages, j'ai pris ces photos sur le vélo d'une main en pédalant, pas toujours simple de cadrer dans le trafic)

    Vieilles façades

    Singapour

    Du vert on a dit!

    Singapour

    Ça grimpe

    Singapour

    Une mosquée

    Singapour

    J'en profite pour dire que sur le plan ethnique, Singapour est une miniature de la malaisie. Beaucoup de chinois (80%), des malais et des indiens. On retrouve donc pléthore de temples chinois, hindous et des mosquées. Il y a en revanche beaucoup plus d'églises qu'ailleurs, notamment des eglises chinoises.
    Le soir même on commence le démontage des vélos, snif, c'est vraiment la fin...

    Mardi sera notre dernière journée. On fait les poubelles pour trouver des bouts de cartons et du polystyrène, on est en compétition avec les gars qui font de la récupération avant les éboueurs! On finit le démontage des vélos et l'emballage dans les cartons. Un dernier coup d'oeil sur le compteur: 5391km depuis Chengdu, ça fait une trotte quand même. Petite larme...

    Une fois tout emballé, ça donne ça:

    Singapour

    Plus de 6 mois de vie qui tiennent seulement dans 45 litres de sac / sacoches et un vélo. Qu'est ce qu'on a de bazar dans son appart!
    On aura le temps de méditer ça dans l'avion du retour: on mettra 24h pour rentrer à Paris - alors que ça nous aura pris plus de 6 mois pour l'aller! 

    Malgré tout, pas question de se laisser abattre. On se fait le meilleur resto japonais de notre vie à l'aéroport de Singapour et je m'achète un demi kilogramme de m&m's au duty free!

    Singapour

     


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  • Quelques images insolites... Je vous laisse regarder la photo puis vous trouverez en dessous la légende correspondant.

     

    Et en bonus...

    Ahhhh, les durians! On trouve ce genre de panneau un peu partout en asie du sud est. Ce fruit est souvent interdit dans les lieux publics et dans les hotels. Pourquoi? Il est d'une puanteur infernale! Ça empeste sévèrement et c'est vraiment désagréable. On s'est déja fait "gazer" en roulant derrière un camion transportant des durians, attention à la chute...

     

    Et en bonus...

    Pas d'idée? Une flèche collée au plafond d'un hôtel... dans un pays musulman... Toujours pas? Il s'agit tout simplement du "kiblat", soit la direction vers laquelle tout musulman doit se tourner pour prier. Cette flèche indique donc la mecque!

     

    Et en bonus...

    Chez nous on a un panneau avec un cerf en train de courir. Bah ici c'est la version locale du "attention animaux sauvages".

     

    Et en bonus...

    On pourrait traduire par "attention chien méchant". Ici c'est le stade d'après!

     

    Et en bonus...

    Un énième panneau à l'entrée d'une école scolaire... En Asie du sud est, la règle c'est l'uniforme. Comme vous pouvez le voir, absolument toute la tenue y est détaillée, pas intérêt à sortir du rang!


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  • Nous sommes restés 3 semaines en Malaisie, mais notre itinéraire calqué sur la côte ouest nous a empêché de mesurer toute la diversité de ce pays. Nos impressions sont donc forcément très subjectives...

    Dans les bonnes choses que nous retiendrons, il y a la cuisine qui est vraiment variée avec les différentes origines ainsi que le contact avec les autochtones. De loin, c'est le pays où l'anglais est le mieux maitrisé car utilisé couramment par les locaux pour se parler entre eux. La maitrise de la langue combinée avec un naturel curieux et peu timide, on rencontre forcément des tas de gens avec qui il est possible d'avoir une conversation un peu plus évoluée que "combien ça coûte" ou "je suis français". Ça fait vraiment plaisir et on a vite eu le sentiment que les malais étaient les meilleurs potes de qui voulait bien causer 5 minutes avec eux.
    Nous avons également apprécié la majorité des coins touristiques que nous avons parcourus, même si le fait d'être en basse saison a joué en notre faveur pour en profiter pleinement.
    Et puis, nous avons aussi été séduits par la diversité culturelle qui est présente dans tous le pays. C'est juste incroyable; on passe de Little India à Chinatown en quelques mètres et l'ambiance change du tout au tout, le décor aussi et tout est très vivant. C'était chouette de retrouver des éléments chinois dans les villes qui nous rappelaient notre séjour de 3 mois en Chine.

    Malheureusement pour nous, si le fait d'être à vélo nous a permis des rencontres inoubliables, nous avons néanmoins pas mal souffert de ce mode de transport. En dehors des quelques lieux touristiques, la route était horrible et ça tournait à l'épreuve mentale certains jours. Trop de trafic, trop dangereux, tout le temps, partout et une vue lassante... Cela a été renforcé par la période des vacances malaises et du fait de notre parcours sur la côte ouest. Elle est saturée en temps normal, là c'était le cauchemar tous les jours. A la base on voulait faire la côte est, mais nous sommes arrivés en plein ramadan. Cette côte (surtout le nord) étant très musulmane, il est impossible d'y manger le jour car il y a très peu de chinois ou d'indiens (dixit les locaux à qui nous avons demandé), nous avons donc renoncé malgré son coté plus sauvage et plus calme (parait-il).
    Les paysages qui s'offraient à nous étaient, majoritairement, des palmeraies à n'en plus finir et ce n'était pas particulièrement bon pour le moral. Heureusement, nous avons pu passer à travers des portions un peu plus sympathiques avec de jolies petites maisons typiques, mais si peu...
    De plus, si une bonne partie de la population est très accueillante, une frange non négligeable nous a clairement manifesté son indifférence, voire son hostilité (et je ne parle pas de notre petite agression qui a été exceptionnelle). Après une bonne journée de m*rde sur la route, une telle attitude achève de pourrir la journée... C'est la première fois que nous avons rencontré de telles situations de manière régulière. Au début on prend ça pour des cas isolés, au bout d'un certain nombre ce n'est plus un hasard...

    Bref, on a donc un bilan plutôt mitigé sur le pays. On ne pense pas que l'on aimerait le refaire à vélo d'ailleurs. A pieds, on irait probablement faire de la plongée car les spots semblent merveilleux. Ça a d'ailleurs été un regret, avec plus de temps on y serait certainement allés après la fin du ramadan.
    Mais bon, on est bien conscient que l'on a pas fait forcément la partie la plus belle de la Malaisie, il y a certainement moyen de mieux apprécier ce pays sur 2 roues!


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  • Il est temps pour moi de vous partager toutes les bonnes choses que l'on trouve à manger en Malaisie.

    Il faut d'abord savoir qu'il y a 3 grandes populations en Malaisie: les malais, les chinois et les indiens. Ces 3 cuisines cohabitent et fusionnent et cela donne des résultats plutôt sympathiques. Néanmoins, il y a 3 types de restaurants du coup et l'on n'y mange pas la même chose.

    Commençons par les plats "malais". Nous avons pu manger de delicieuses brochettes sauce satay (plat javanais à l'origine) et le nasi lemak le matin: du riz cuit dans du lait de coco et servi avec une omelette, des cacaouètes, une sauce épicée et des anchois séchés, bon mais très calorique.

    Nous avons beaucoup mangé dans les restaurants indiens, d'autant plus qu'ils sont ouverts en permanence. Nous y avons dégusté de délicieux rotis canais, parfois nature, parfois aux oeufs; des sortes de crêpes de riz repliées. Nous avons beaucoup aimé voir les cuisiniers les préparer, c'est une technique impressionnante. Très souvent, le midi ou le soir, nous mangions un nasi campur, en fait on vous sert du riz et vous choisissez dans le buffet ce que vous voulez manger avec: beaucoup de sortes de curry, des légumes,... Nous avons dégusté aussi du riz byriani, miam! Beaucoup de poulet grillé, de riz parfumé, de légumes panés,... Et puis le mee goreng, un plat de nouilles sautées; mee goreng ayam s'il est servi avec du poulet grillé. Le plat se décline aussi avec du riz, nasi goreng ayam. La plupart des plats sont servis avec du concombre, c'est rafraichissant.

    Et puis, en Malaisie, les chinois sont les champions du "chicken rice". Un plat de riz sur lequel sont disposées des lamelles de concombre, elles-même recouverte de lamelles de poulet grllé, à la chair incroyablement moelleuse et parfumée. La qualité varie en fonction des restaurants, bien entendu. Parfois, on trouve des buffets le midi dans les restaurants chinois; j'y ai dégusté un délicieux poulet sauce aigre douce.

    Dès qu'on mange dans un restaurant ou dehors dans un food court, il y a toujours un service de boissons. Cela nous a supris au départ mais nous y avons pris goût. Le matin, un "kopi", café servi avec du lait concentré... ce qui le rend tres sucré! Et puis, pour nous rafraîchir, un jus de citron vert: de l'eau chaude versée sur du citron vert ouvert et on y ajoute du sucre et plein de glaçons; les meilleurs sont dans les restaurants indiens. Parfois du thé au citron glacé aussi. Pour chaque boisson, on peut choisir de la prendre chaude ou froide; puis il y a plusieurs déclinaisons. Par exemple, pour le "kopi", si vous demandez kopi, il est servi sucré avec du lait concentré, si vous demandez kopiO, vous l'aurez sans lait concentré et si vous demandez kopiC, vous l'aurez sans sucre et lait concentré. On s'est fait avoir au début avec le thé... on l'a eu plusieurs fois avec du lait...

    Je suis pressée de me refaire ces jus de citron et autres plats malais pour épicer un peu ma vie parisienne.


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  • Cette fois on y est... Gros coup de blues dans la chambre de l'hôtel, pas envie de monter en selle. On se motive, et on tient à vous remercier pour toutes les petites phrases pour nous aider à rebondir reçues par mail ou sms, ça nous a fait du bien. J'ai beaucoup apprécié "il faut bien rentrer pour pouvoir repartir", je la garde en tête! On sort les vélos sur le trottoir et on installe une dernière fois nos sacoches. Une routine qui va disparaître... Sacoche gauche en premier, clip gauche, puis le droit puis le blocage papillon. Vient le tour de la sacoche droite, puis on fixe la sacoche du dessus. Zip latéral droit en premier, puis le gauche. La sacoche de guidon vient en dernier. Ça nous prend 45s à tout casser, on devait mettre 5 minutes lors de nos premières étapes chinoises! 

    Allez, on roule! Nous arrivons rapidement au poste Malais à l'extrémité du pont, tout va très vite et est très efficace. Des milliers de malais font l'aller retour quotidien sur cette voie, toute la procédure se fait donc sans descendre de voiture, vélo ou moto. 

    Il faut faire sa place et la tenir!

    Arrivée à Singapour

    Les gens sont assez surpris de nous voir ici, pour le coup c'est vrai que cette frontière pont est plutôt sympathique à faire en vélo. Petit moment de bonheur que l'on ne savoure qu'en voyageant lentement...

    Côté singapourien ça va aussi très vite, on arrive rapidement sur l'île. Et là c'est le choc! C'est propre, il y a des vrais trottoirs, de la pelouse tondue au mm près, des parcs, et le volume sonore tellement faible que l'on entend de nouveau le bruit de nos pneus sur la route... Ouch, quelle transition! Du coup, ça en serait presque agréable de rouler en ville!

    Arrivée à Singapour

    On continue notre descente vers le sud et donc le centre ville, non sans se perdre un peu au passage. On croisera quelques singes, coucou! La végétation est omniprésente et luxuriante, c'est très agréable. Le climat équatorial y est pour beaucoup, mais on note une vraie volonté d'inscrire la végétation jusque dans les immeubles. Je voudrais bien la même chose chez nous... 

    Arrivée à Singapour

    On arrive en début d'après midi dans un hotel repéré la veille sur internet. Pas génial, mais comme d'habitude tout est complet partout donc on prend ce que l'on trouve. À la réception on me demande de payer pour une nuit... le prix que j'aurais payé en France dans un hotel ibis, ça aussi on avait oublié! Fini les snickers à 50 centimes d'euros et les repas pour une poignée de pièces, aie! 

    Pour se remettre de nos émotions et préparer les derniers jours restants, on se fait un bon resto chinois qui nous explose le budget mais qui fait du bien au moral!


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  • Bon, il fallait bien qu'elle arrive un jour cette dernière étape malaise même si on a tout fait pour la retarder. Ces derniers jours, on se disait "plus que 2 jours" chaque matin, pour finalement décider le soir même de scinder le parcours ou de s'arrêter pour une journée complète. C'est le truc bien en voyage, on a le pouvoir de dire à chaque instant "pffffiou, ben je crois que ce matin je vais dormir plutot que d'aller rouler". Juste pour le fun, essayez de sortir un truc pareil à votre boss! ;-)

    Bref, on quitte donc Pontian (tard, on a dormi) pour rejoindre Johor Bahru, ville frontière avec Singapour. Ça sent le sapin et ça fout les boules... Juste à la sortie de la ville, un scooter me fait un grosse queue de poisson qui manque de m'envoyer par terre et le type ne comprend même pas pourquoi je m'énerve, c'est dingue. Complètement abrutis ces 2 roues... C'est pile à ce moment qu'une moto se met au tas derrière nous, toute seule à priori. Les occupants semblent seulement se rendre compte à cet instant que porter un casque c'est bien, attaché c'est mieux... Bref, on est déjà dans l'ambiance pour la journée. 

    On fait nos 40km de route 5 qui aura été ennuyeuse jusqu'au bout avant de bifurquer sur la route 1. Là on voit tout de suite que ça va être sport d'arriver en entier jusqu'au centre ville de Johor. Une grosse 2x3 voies sans bande d'arrêt d'urgence pleine de camions et de voitures. Rien de bien différent du reste de la malaisie me direz vous? Effectivement, sauf que tout le monde roule cul à cul et vraiment très vite. Les camions frôlent nos guidons et nous déstabilisent avec les appels d'air. On serre les fesses et on ne rigole pas du tout car c'est vraiment très dangereux. Tous les 500m, il y a une entrée à 2 voies sur notre gauche, ce qui fait que l'on se retrouve très souvent pris en sandwich entre 2 voies à gauche (avec un imbécile dans un camion / taxi / voiture) et 3 voies à droite (avec un imbécile dans un camion / taxi / voiture). Ça va durer 20 très longs km avant de pouvoir quitter cet enfer. Ça nous a inspiré 2 réflexions chacun dans notre coin:

    - c'était 10 fois pire que n'importe quelle ville de notre parcours, Bangkok c'est le pays des bisounours à côté!

    - à refaire, ben on pense qu'on ne le refera pas...

    Une fois à Johor, on trouve rapidement un hôtel pas cher qui veut bien de nos vélos, quelle chance! D'habitude c'est la galère de ce côté là, on n'est pas mécontents de ne plus avoir à rouler dans cet enfer cycliste. Désormais, il n'y a plus qu'un pont surplombant un bras de mer qui nous sépare de notre destination finale: Singapour. Bref, dans 10km c'est la fin... 

    Comme on a peu de marge sur la date de notre vol, on décide de rester 1 journée de plus à Johor, histoire de repousser encore un peu la dernière étape du voyage. Les sentiments sont étranges, nous sommes à la fois heureux d'avoir fini ce voyage à vélo, d'un autre côté ça ne nous aurait pas déplu de continuer à pédaler...

    À part ça, pas grand chose à dire sur la ville en elle même, si ce n'est que les égouts ont été couverts il y a quelques temps. Ça pue toujours autant, mais on ne risque plus de tomber dedans en marchant, c'est cool! Ici, c'est la folie côté urbanisme; tout se côtoie, les vieux immeubles croulants et moisis, des tours immenses flambant neuves, des barres d'immeubles et de jolis monuments comme ceux-ci. 

    Jolie vue depuis l'hôtel

    Arrivée à Johor Bahru

    Un temple indou sur fond de mall (centre commercial)

    Arrivée à Johor Bahru

    J'ai le sentiment que l'hindouisme est encore moins perméable que le bouddhisme...

    Arrivée à Johor Bahru

    Une petite église perdue? 

    Arrivée à Johor Bahru

    Non, elle est bien entourée! 

    Arrivée à Johor Bahru

    La tour du sultan 

    Arrivée à Johor Bahru

    Nous sommes essentiellement restés dans le quartier Indien, atteints d'une flemmingite aiguë côté tourisme. Un peu déçus côté nourriture, c'etait moins bon qu'ailleurs. En revanche la boulangerie chinoise citée dans le Lonely vend des banana cakes à tomber et il y a un "secret recipes" dans le mall derrière le temple indou: si vous voulez vous empifrer 1000kcal d'un coup en avalant une énorme part de gâteau avec une glace géante, c'est une excellente adresse! 


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